« Cette formation n’est pas de tout repos, la quantité de savoir partagée est immense. On commence à le ressentir à mesure que la fin approche, avec les contrôles continus, les travaux à rendre, et les révisions qui occupent l’esprit de chacun. Le « stress des exams » est palpable.
Chacun a ses propres techniques de révision, que ce soit en travaillant seul ou en groupe, en créant des fiches, des flashcards, ou en faisant des tests sur la plateforme mise à disposition par l’Université. Tout le monde est dans le même bateau, et tout le monde souhaite que chacun réussisse. Le monde du vin, même pour les nouveaux entrants, est un monde de partage.
Les professeurs nous rassurent également. Forts de leur expérience, ils trouvent les mots pour nous faire comprendre que le problème n’est pas notre manque de culture, mais plutôt le fait de penser que nous ne savons pas. Nous travaillons intensément depuis deux mois et demi, 5 jours par semaine, sur un sujet bien précis. Le savoir est en nous, il faut parfois simplement se le rappeler. » – Jules Defrancq